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Faut-il avoir peur de la vaccination ?

De plus en plus de jeunes mamans s'interrogent et s'inquiètent sur la fiabilité, l'efficacité et la quantité d'injection à administrer à leur bébé au cour de la première année. En France, 41 % de la population estime que les produits présents dans les vaccins ne sont pas sûrs, 17 % doutent de leur efficacité et enfin 12 % considèrent les vaccins infantiles comme peu important.

Seul le ROR est obligatoire alors que devons nous faire ? Alors, pour ou contre la vaccination ?

Qu'est ce que la vaccination ?

Bien sûr tout le monde sait en quoi consiste la vaccination, alors juste une petite piqure de rappel ! C'est l'acte d'introduire dans un organisme vivant un antigène (dont la pathogénécité à été diminué) afin de créer une réaction immunitaire positive contre une maladie infectieuse. Cette réaction immunitaire est gardée en mémoire pour que dans le cas d'une réelle contamination l'immunité acquise se déclenche plus rapidement et plus intensément.

L'objectif étant de lutter contre la mortalité infantile due aux maladies infectieuses. Et cela à largement fonctionné puisque la variole à pu être éradiquée grâce à la vaccination de masse, on remarque également une baisse considérable de la mortalité due à la diphtérie, le tétanos, la coqueluche ou encore la rougeole. Cette dernière à tuée plus d'enfant que n'importe quelle autre maladie dans l'histoire, maladie très contagieuse elle contamine 90% des personnes exposées... une épidémie de rougeole se dépend donc très vite.

L'OMS estime donc que la vaccination est l'une des interventions sanitaires les plus efficaces.

L'immunité grégaire

C'est le principe de la protection de l'individu par la vaccination de masse. Considérons un groupe plutôt qu'un individu, un groupe de population immunisé va protéger l'individu non vacciné : un nouveau né non vacciné sera protégé de la coqueluche dans un environnement où le reste de la population est immunisé. Il en va de même pour la rubéole dans le cas d'une femme enceinte ou encore de la grippe pour une personne âgée. Dans de nombreux pays où le taux de vaccination est en baisse on observe le retour de la coqueluche ou de la rougeole.


vaccination de masse

Idées reçues :


"L'hépatite B, mon bébé n'est pas concerné au vue des voies de contamination", voilà une phrase qui revient souvent quand arrive l'heure des vaccins, mais est-ce vrai ?

A l'origine de la vaccination contre l'hépatite B, en 1981, l'idée était de n'administrer le vaccin qu'aux groupes à haut risque de contamination (les prisonniers, le personnel soignant, les toxicomanes, les hommes homosexuels) et pendant 10 ans les taux d'infection n'ont pas bougé. Ce n'est que lorsque le vaccin à été recommandé chez les nouveaux nés que la maladie à quasiment disparue chez les enfants.


"Attraper le virus protège mieux et plus longtemps que les vaccins pour lesquels il faut des rappels". Le système immunitaire réagit de la même manière qu'il s'agisse d'une vraie maladie ou d'un vaccin. Dans le cas du vaccin l'antigène est diminué donc moins dangereux. Les oreillons, la rougeole... ne sont pas des maladies anodines, et ne sont pas un passage obligatoire de l'enfance grâce à la vaccination.

Les effets indésirables des vaccins

Tout acte médical actif peu comporter des effets indésirables, mais dans la plupart des cas ces effets sont bien moins dangereux que les maladies elles même : Fièvre, légère douleurs, éruption cutanée, urticaire.

Dans de rares cas, des répercutions plus sérieuses peuvent survenir : accidents neurologique (vaccin anti-coqueluche), chute des plaquette sanguine (1 pour 30000 antigène Rougeole),

La polémique sur l'autisme déclenché sur le vaccin ROR à été réfuté.


La présence d'hydroxyde d'aluminium depuis 1984 dans certain vaccin serait à l'origine de la myofasciite à macrophage, une maladie des muscles incurable qui laisserait le malade dans l'incapacité de se déplacé seul, d'après le film : Aluminium, notre poison quotidien de Valérie Rouvière en 2011. En 2003 le Comité consultatif mondial sur la sécurité des vaccins à conclu que la persistance des macrophages n’est associée ni à des symptômes cliniques ni à une maladie spécifique. L'utilisation d'hydroxyde d'aluminium permettrait aux laboratoires d'utiliser moins d'agent actif dans le vaccin pour la même efficacité, comparé au phosphate de calcium utilisé jusqu'alors... Dès 1987, Louis Léry à alerté le ministère de la santé sur les risques alors supposés de l'aluminium resté sans suite.

Calendrier

calendrier vaccinal

En dehors du DTP qui est obligatoire, les vaccins sont seulement fortement recommandés, le choix de faire vacciner votre enfant vous appartient donc, les produits (notamment l'aluminium) peuvent être nocifs à la santé mais ne pas être protégé des maladies infectieuses peut-être plus dangereux encore... Il n'existe pas de réponse universelle, à vous de faire ce choix pour votre enfant, qui ne peut pas encore décider pour lui-même, en vous informant au mieux.

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